Le 7 décembre 2013 le centre Malher accueillait une nouvelle journée d'étude du CVUH consacrée aux usages socio-politiques de la catégorie de génocide. Nous mettons en ligne les traces audio et photographiques de cette journée.
Introduction de la journée d'étude par Blaise Dufal et Sylvie Aprile, Vice-Présidente du CVUH.
Blaise Dufal, Jacques Semelin, Sylvie Aprile ouvrent la journée d'étude. (@VS) |
Quels génocides et quels usages ? Réflexions préliminaires
Par Jacques SEMELIN (CNRS-IEP)
Blaise Dufal & Jacques Semelin.
(@VS)
De la question du génocide des populations autochtones d'Amérique du nord et de son utilisation aux États-Unis 1992-2012.
La catégorie génocide dans la mémorialisation de la traite négrière : élément d'une mise en controverse des discours sur le passé.
Par Sébastien LEDOUX (Université de Paris I)
Anne Jollet, Vice-Présidente du CVUH introduit les contributions de l'après midi.
M. Bertrand, J-C Martin, A. Jollet et J-P Chrétien. (@VS) |
Génocides en Afrique : les embarras de définition. L'exemple du Burundi et du Rwanda de 1964 à 1994.
Par Jean-Pierre CHRETIEN (CNRS)
Jean-Pierre Chrétien. (@VS) |
Génocide en Vendée ? Ou le problème posé par la question : de la nécessité de tenir compte de tous les usages de l'histoire.
Homocauste : de l’usage du génocide dans la construction identitaire et mémorielle des homosexuels français.
Par Mickaël BERTRAND (Enseignant à Dijon)
L'intervention de M. Bertrand (à gauche)
clôture la journée. (@VS)
1 commentaire:
Bonjour,
Avez-vous été informé de cette manifestation intitulée «Projection - débat L’histoire du Rwanda avant et après le génocide de 1994 » qui eut lieu le 29 novembre 2013 sur l’île de la Désirade ?
Pourriez-vous préciser qui a commandité cette manifestation – dont l’auteur se présente comme étant soutenu par la CVUH - et pourquoi elle fut réalisée dans un local privé, alors qu’il existe une structure communale parfaitement disponible et mieux adaptée au plus grand nombre de spectateurs ?
Par ailleurs, aucune manifestation analogue n’eut lieu à la même époque – ni depuis lors – à un autre endroit en Guadeloupe, où la population reste pourtant toujours passionnée par de tels sujets.
Cette séance effectuée par M. Jean-Luc Galabert obéit-elle vraiment à cet objectif revendiqué comme s’inscrivant dans la campagne d’information « Rwanda, 20 ans, ça suffit » ,
Merci de votre réponse
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