dimanche 19 janvier 2014

Journée d'étude : les usages socio-politiques de la catégorie de génocide.

Le 7 décembre 2013 le centre Malher accueillait une nouvelle journée d'étude du CVUH consacrée aux usages socio-politiques de la catégorie de génocide. Nous mettons en ligne les traces audio et photographiques de cette journée.



Introduction de la journée d'étude par Blaise Dufal et Sylvie Aprile, Vice-Présidente du CVUH.


Blaise Dufal, Jacques Semelin, Sylvie Aprile
ouvrent la journée d'étude. (@VS)



Quels génocides et quels usages ? Réflexions préliminaires 
Par Jacques SEMELIN (CNRS-IEP)




Blaise Dufal & Jacques Semelin.
(@VS)


De la question du génocide des populations autochtones d'Amérique du nord et de son utilisation aux États-Unis 1992-2012.
Par Nelcya DELANOË (Professeur honoraire des Universités) 

Nelcya Delanoë et Sylvie Aprile.(@VS)



La catégorie génocide dans la mémorialisation de la traite négrière : élément d'une mise en controverse des discours sur le passé.
Par Sébastien LEDOUX (Université de Paris I) 

Sébastien Ledoux. (@VS)


* * * * * * * * *

Anne Jollet, Vice-Présidente du CVUH introduit les contributions de l'après midi.

M. Bertrand, J-C Martin, A. Jollet et J-P Chrétien.
(@VS)

Génocides en Afrique : les embarras de définition. L'exemple du Burundi et du Rwanda de 1964 à 1994. 
Par Jean-Pierre CHRETIEN (CNRS)



Jean-Pierre Chrétien. (@VS)



Génocide en Vendée ? Ou le problème posé par la question : de la nécessité de tenir compte de tous les usages de l'histoire.
Par Jean-Clément MARTIN (Université de Paris I)


J-C Martin et Anne Jollet. (@VS)

Homocauste : de l’usage du génocide dans la construction identitaire et mémorielle des homosexuels français.
Par Mickaël BERTRAND (Enseignant à Dijon)




L'intervention de M. Bertrand (à gauche)
clôture la journée. (@VS)




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bonjour,

Avez-vous été informé de cette manifestation intitulée «Projection - débat L’histoire du Rwanda avant et après le génocide de 1994 » qui eut lieu le 29 novembre 2013 sur l’île de la Désirade ?
Pourriez-vous préciser qui a commandité cette manifestation – dont l’auteur se présente comme étant soutenu par la CVUH - et pourquoi elle fut réalisée dans un local privé, alors qu’il existe une structure communale parfaitement disponible et mieux adaptée au plus grand nombre de spectateurs ?

Par ailleurs, aucune manifestation analogue n’eut lieu à la même époque – ni depuis lors – à un autre endroit en Guadeloupe, où la population reste pourtant toujours passionnée par de tels sujets.
Cette séance effectuée par M. Jean-Luc Galabert obéit-elle vraiment à cet objectif revendiqué comme s’inscrivant dans la campagne d’information « Rwanda, 20 ans, ça suffit » ,

Merci de votre réponse