vendredi 1 juillet 2011

Comment adhérer au CVUH ?


Comité de Vigilance face aux Usages de l'Histoire


« En tant que chercheurs et enseignants en histoire, notre rôle principal consiste à élaborer et à transmettre des connaissances rigoureuses sur le passé. Celles-ci résultent d’une analyse critique des sources disponibles, et répondent à des questions qui ont pour but de mieux comprendre les phénomènes historiques et non pas de les juger. Mais les historiens ne vivent pas dans une tour d’ivoire. Depuis le XIXe siècle, le contexte politique et social a joué un rôle essentiel dans le renouvellement de leurs objets d’étude. […] Il y a donc un rapport étroit entre la recherche historique et la mémoire collective, mais ces deux façons d’appréhender le passé ne peuvent pas être confondues. S’il est normal que les acteurs de la vie publique soient enclins à puiser dans l’histoire des arguments pour justifier leurs causes ou leurs intérêts, en tant qu’enseignants-chercheurs nous ne pouvons pas admettre l’instrumentalisation du passé. Nous devons nous efforcer de mettre à la disposition de tous les connaissances et les questionnements susceptibles de favoriser une meilleure compréhension de l’histoire, de manière à nourrir l’esprit critique des citoyens, tout en leur fournissant des éléments qui leur permettront d’enrichir leur propre jugement politique, au lieu de parler à leur place. »[1]

Bulletin d'adhésion à copier/coller dans un mail pour envoi électronique à 
fannymadeline[à]yahoo.fr

ou par courrier accompagné de votre règlement par chèque à l'ordre du CVUH à : 
Fanny Madeline, 13 rue Raymond Lefebvre 94250 Gentilly


      -        Nom :

-        Prénom :

-        Adresse électronique :

-        Adresse postale :


-        Situation professionnelle :




-        Centres d'intérêts particuliers :







-        Montant de la cotisation :
-        Étudiant(-e) et précaires : 8 euros
    Adhésion simple : 15 euros
-         Adhésion de soutien : 30 euros





[1]             Manifeste du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire du 17 juin 2005

Aucun commentaire: