Le Cvuh ne saurait rester silencieux face à un tel
événement. Nous nous sentons
profondément émus par ce qui vient
de se passer et nous nous associons à la souffrance et à la peine éprouvées par
les victimes de ces actes
criminels terribles et par leurs proches.
Cette émotion immense et ce nouveau
deuil collectif requiert de la part de tous des précautions accrues dans
l'usage de l'histoire. Défendre la
liberté n'est pas réductible à la défense de l'Etat-nation. Les pratiques
démocratiques et les usages du
savoir ne doivent pas céder devant la peur et les instrumentalisations.
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